En 1934, il devient président de l'Atelier, société d’artistes résidant à Bordeaux créée en 1905[6].
Prises de position politique
Monarchiste, il préside la Fédération d'Action française de la Gironde[7], devient l'animateur de l'Action française dans le Sud-Ouest[8] et y dirige le journal royaliste La Nouvelle Guyenne. Il se montre également un opposant du Sillon, le mouvement fondé par Marc Sangnier.
Les Enseignements de la guerre : doctrines démocratiques, doctrines d'Action française, 1919.
La Démocratie, c'est la paix ?, 1919.
L'Économie politique et la Doctrine catholique : les thèses de l'économie nouvelle, la morale catholique et les enseignements pontificaux, préface de Georges Valois, La Nouvelle Librairie, 1923.
Autour de l'Action française. Épisodes et Documents. Conversations avec le Cardinal Andrieu. Lettres du Cardinal Billot. Le cas du Sillon. Politique et religion. L'obéissance selon saint Ignace. Textes falsifiés, 1937.
Francs-maçons et catholiques. La Main tendue, 1939[11]
↑Marc Agostino, « L’Action française dans le Sud-Ouest : un terreau royaliste, un lien ambigu avec le catholicisme », dans L’Action française : culture, société, politique, Presses universitaires du Septentrion, coll. « Histoire et civilisations », (ISBN978-2-7574-2123-9, lire en ligne), p. 279–290.
↑Guillaume Gros, « Chapitre II : Une famille d’Action française : une politisation précoce », dans Philippe Ariès (1914-1984) : Un traditionaliste non-conformiste, de l'Action française à l'École des hautes études en sciences sociales, Presses universitaires du Septentrion, coll. « Histoire et civilisations », (ISBN978-2-7574-2121-5, lire en ligne), p. 31–44.
Jean Arfel, Nel Ariès (Nécrologie d'Emmanuel Ariès), 1944.
Guillaume Gros, Philippe Ariès (1914-1984) : Un traditionaliste non-conformiste, de l'Action française à l'École des hautes études en sciences sociales, 2008.
Michel Leymarie, Jacques Prévôtal, L'Action française : culture, société, politique, 2008.