En 1844, Hermann Roemer et Wilhelm Pelizaeus, avec l'aide d'autres créer une association pour fonder un musée qui portera leur nom[7]. Roemer initié et financé l'achat de nombreuses collections et la construction du musée. De son côté, en 1907, Pelizaeus fit don d'une importante collection d'antiquités égyptiennes à sa ville natale[7]. Les premiers bâtiments du musée dans la rue « am Steine » furent l'église Saint-Martin(de), une ancienne église monastiquefranciscaine, inutilisée à cette époque, et l'orphelinat, acquis en 1911 pour abriter la collection égyptienne[7]. Entre 1885 et 1887, une façade néogothique fut érigée, et a donné au complexe muséal son extension ultérieure qui servit à abriter les collections après 1894[7].
Des mesures structurelles globales ont apporté des modifications dans les années 1930 lorsque l'entrée de l'orphelinat fut rénovée[7]. Les bâtiments furent gravement endommagés durant la Seconde Guerre mondiale nécessitant leur reconstruction permettant la réouverture du musée en 1959[7]. Grâce au soutien financier des citoyens et des associations de Hildesheim, une partie du nouveau bâtiment du musée a été achevée entre 1998 et 2000[7].
(de) Stephanie Zesch, chap. 7 « Zwischen Diesseits und Jenseits. Objekte altägyptischer Grabausstattung und Tiermumien aus dem Roemer- und Pelizaeus-Museum Hildesheim », dans Wieczorek A., Rosendahl R., Mumien - Der Traum vom ewigen Leben, Philipp von Zabern Verlag, , 2e éd., 320-327 p. (lire en ligne [PDF]).