Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».
Construit en 1674 par Pierre Mercereau, maître-charpentier, et classé bien archéologique depuis 1984, le moulin à vent de Grondines est l'un des plus anciens au pays.
Chronologie
Évolution du bâtiment :
Autres occupants ou propriétaires marquants :
1683 : seigneurie de Grondines vendue à Jacques Aubert
1711 : la moitié vendue à son gendre Louis Hamelin
1912 : le moulin est vendu au gouvernement fédéral qui le transforme en station de signaux maritimes
1972 : cédé à la municipalité de Grondines (restauration extérieure).
Transformations majeures :
1912 : machinerie enlevée, murs réparés et haussés de 30 centimètres, intérieur lambrissé, escalier refait, toiture devient fixe, ouvertures réaménagées ou percées au premier et au second étage. L'édifice est alors transformé en station de signaux maritimes par le gouvernement fédéral. Elle demeure en opération jusqu'en 1972.
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Gilles Deschênes et Gérald-M. Deschênes, Quand le vent faisait tourner les moulins : Trois siècles de meunerie banale et marchande au Québec, Québec, Septentrion, , 313 p. (ISBN978-2-89448-580-4)
Laval Gagnon et Kathy Paradis, La tournée des vieux moulins à vent du Québec, Cap-Saint-Ignace, Édition La Plume d'oie, , 190 p. (ISBN2-922183-45-9)
Commission des biens culturels, Les chemins de la mémoire, t. I, Québec, Les Publications du Québec, , p. 322