Sa peinture religieuse constitue une étape importante dans l'essor du genre du paysage. Il excelle en particulier dans la composition de scènes de foule en extérieur. Révélant un réel intérêt pour la beauté du paysage, il ouvre ainsi la voie à Pieter Brueghel l'Ancien[3].
Abraham conduisant son fils Isaac au sacrifice, v. 1530-1535, bois, 40 × 32 cm, musée du Louvre, Paris[3]
La Montée du Christ au calvaire, v. 1535, bois, 70 × 84 cm, musée du Louvre[3]
↑ ab et cVincent Pomarède, 1001 peintures au Louvre : De l’Antiquité au XIXe siècle, Musée du Louvre Éditions, , 308 p. (ISBN2-35031-032-9), p. 409.
↑Simone Bergmans, « Le Problème de Jan van Hemessen, monogrammatiste de Brunswick », Revue belge d'archéologie et d'histoire de l'art, vol. 24, , p. 133–157.
Annexes
Bibliographie
(de) W. Bode, Studien zur Geschichte der holländischen Malerei, V,
O. Eisenmann, Rezension W. van Bode, Studien zur Geschichte der Hollandischen Malerei, in Repertorium für Kunstwissenschaft, 1884, p. 207.
M.J. Friedländer, E.N.P., XII, 1975, pp. 44-52.
S. Bergmans, Le siècle de Bruegel, cat. exp. M.R.B.A.B., Bruxelles, 1963, pp. 174-177 ; Le problème du Monogrammiste de Brunswick, in Bull. M.R.B.A.B., 1965, pp. 143-165.
D. Schubert, Die Gemälde der Braunschweiger Monogrammisten, Cologne, 1970.