Docteur d’État en droit privé de la Faculté de droit et des sciences économiques de Nice (juin 1985, mention très honorable et félicitations du jury)[1]. Agrégé en droit privé et sciences criminelles (concours d’agrégation français, Paris, février 1989).
Conseiller juridique principal à la Commission mixte Cameroun-Nigeria (ONU) (novembre 2003 – novembre 2005)[2] mise en place par le Secrétaire général des Nations unies pour la mise en œuvre de l’arrêt de la CIJ relatif à la frontière entre les deux pays.
L’irruption des droits de l’homme dans l’ordre économique international : mythe ou réalité ?, LGDJ-lextenso, 2012[5] (ISBN978-2-275-03895-7).
Articles :
« Le pouvoir économique et le droit. Variation sur un thème très niçois », Revue internationale de droit économique 2013/4 (t. XXVII), pages 475 à 490[6].
Les outils de la Compliance sous la direction de Marie-Anne Frison-Roche, contribution du professeur Mohamed Mahmoud Salah, « Conception et application de la Compliance en Afrique »[7].
Recueil des cours de l'Académie de droit international de la Haye, « Loi d’autonomie et méthodes de protection de la partie faible en droit international privé », par Mohamed Salah Mohamed Mahmoud, professeur à l’université de Nouakchott. Année 2005, tome 315, pages 141-264[8].
Collège de France, « État social et mondialisation : analyse juridique des solidarités (2012-2019) / Entretien sur les avatars de la solidarité »[9].
Institut d'études avancées de Nantes, « La responsabilité des institutions financières internationales dans la violations des droits de l'homme »[10].
Conférence justice climatique internationale, « Le droit des investissements au service du développement durable »[11].