Elle fait suite à la montée de la violence en république centrafricaine depuis le coup d'État en 2013 et sera réaffirmée par la résolution 2121 du conseil de sécurité des Nations unies. La mission se déploie à partir du sous la houlette de l'Union africaine et avec le soutien militaire de la France[2].
Elle doit compter 6 000 hommes et durer 12 mois. Début décembre[Quand ?] 2 500 militaires de l'Union africaine venant du Gabon, du Cameroun et du Tchad sont alloués à la mission, en plus des forces françaises, comptant 1 600 militaires[2]. Le , la MISCA succède officiellement à la FOMAC. Ses effectifs sont alors de 4 500 hommes, dont 850 soldats du Burundi et 850 soldats du Tchad. Les effectifs montent à 6 000 hommes en [4],[5].