Président du conseil régional d’Île-de-France de l’ERF[3], de 1950 à 1990[4], il devient président de la commission des ministères de l'ERF[5] en 1968[2].
Michel Leplay s’investit dans les relations œcuméniques, se définissant comme un « catholique réformé », et soulignant la continuité entre protestantisme et catholicisme[3]. Il collabore à partir des années 1970 à plusieurs mouvements œcuméniques, dont le Comité mixte de dialogue catholique/luthéro-réformé, qu'il préside aux côtés de MgrJoseph Duval et de MgrJean Vilnet, avec qui il rédige deux documents : Consensus œcuménique et différence fondamentale (1987) et Choix éthiques et communion ecclésiale (1992). Il est membre du groupe des Dombes de 1965 aux années 2000 et écrit des chroniques dans La Croix[3].
Il s’engage également dans l’association Amitié judéo-chrétienne de France, dont il est le vice-président de 1992 à 2005[4],[6]. Le dialogue judéo-chrétien demeure en effet à ses yeux « l’exigence centrale du mouvement œcuménique »[3].
Michel Leplay est directeur de l’hebdomadaire protestant Réforme de 1991 à 1995[7].
Les Églises protestantes et les Juifs face à l’antisémitisme au vingtième siècle, préface du pasteur Alain Massini, postface de Colette Kessler, éditions Olivétan, 2006
La Foi que j’aime le mieux : une histoire de la petite espérance, éd. Salvator, 2009
Textes de présentation et contributions
Martin Luther, Du fond de ma détresse : deux psaumes de pénitence, Desclée de Brouwer, 1998
Karl Barth, L'Église en péril, Desclée de Brouwer, 2000
Schalom Ben-Chorin, Marie : un regard juif sur la mère de Jésus, Desclée de Brouwer, 2001