Né à Nîmes le [1], Michel Mathes est d'abord enseignant à Aimargues et animateur du centre culturel destiné aux jeunes[2]. En 1977, il est poursuivi pour « insoumission »[3] ; mais le conseil municipal de la commune lui témoigne alors de sa confiance et son soutien[2], et il n'est finalement pas condamné.
Secrétaire de l'association Vistricultures[9], membre actif de la société d'histoire Litoraria[10], il a aussi rédigé et adapté des pièces de théâtre pour la Compagnie Beau-Parleur (Nîmes), dans laquelle il coopère à la mise en scène et interprète parfois certains de ses rôles[5].
Il meurt le au Cailar[11],[12]. L'année suivante, une salle sise à l'étang de Scamandre prend son nom[13]. Sa collection de 5 000 livres est dispersée en 2020 son fils[14].
Famille
Marié à Chantal Faraco, il a deux enfants, Maïlis et Geoffrey[15]. Son frère Bernard[15] est également poète[16].
Ouvrages
Avec Antoine Azar, L'Auberge des trois coqs : pièce en cinq actes, Nanterre, Académie européenne du livre, (ISBN2-87739-168-X).
Les Saisons de la mémoire : confessions et récits (23 novembre 2011-4 septembre 2013), reviviscence de jours proches et lointains, Le Cailar, chez l'auteur, , 242 p. (ISBN978-2-9536825-2-6).
Voix du regard (ill. Robert Faure), Le Cailar, chez l'auteur, , 112 p. (ISBN978-2-9536825-4-0).
Aube verbale : journal intermittent (11 novembre 2013-10 novembre 2017), Nîmes, Nombre7 Éditions, , 254 p. (ISBN978-2-9536825-7-1).