Meriem Bouderbala utilise différents moyens de création pour produire ses œuvres. Elle utilise la peinture sur divers supports (toile, papier, verre et tissu), la céramique[3], la photographie et le collage pour matérialiser un questionnement critique autour de l'orientalisme[1],[2],[4] :
« Ma double origine et ma double culture française et tunisienne ont toujours influencé mon travail de plasticienne. L'une et l'autre ont suscité les gestes, les repentirs, les décisions qui ont entraîné mes œuvres vers un « devenir minoritaire »[2]. »
Meriem Bouderbala a participé à plus de vingt expositions. Elle a exposé dans quatre expositions personnelles et dix expositions collectives. Meriem Bouderbala a également participé à trois foires d'art et trois biennales[5].
Meriem Bouderbala est la commissaire du Printemps des Arts de Tunis organisé au palais Abdellia à La Marsa en 2012 et qui est attaqué par des extrémistes religieux sans recevoir de soutien de la part du gouvernement[7],[8],[9]. L'une de ses œuvres se retrouve parmi d'autres créations exposées dans cette exposition collective au cœur de la polémique[10].