Pour améliorer la vérifiabilité de l'article ainsi que son intérêt encyclopédique, il est nécessaire, quand des sources primaires sont citées, de les associer à des analyses faites par des sources secondaires. Motif : Existe-t-il des articles sur son travail (sur des sites comme ISIDORE par exemple ?) ou dans la presse spécialisée (autre que le CNRS pour lequel elle travaille ?)
En 1991, elle entre au CNRS en tant que chargée de recherche au Centre d'études et de recherches sur l'urbanisation du monde arabe.
En 2008, elle crée le laboratoire InVisu qu’elle dirige pendant dix ans. Entre 2017 et 2021, elle est membre de la direction du groupement d'intérêt scientifique Moyen-Orient et mondes musulmans (GIS MOMM)[4]. Elle copilote le projet DISTAM (Digital studies Asia Africa Middle East) labellisé de 2022 à 2025 avec Marie Bizais (maître de conférence et directrice du département d'études chinoises de l'université de Strasbourg)[5] et Benjamin Guichard (de la BULAC)[4]. Ses recherches portant notamment sur la transformation de la ville du Caire aux XIXe siècle et XXe siècles[6]. Elle œuvre à la numérisation des données de la recherche[4].
Maisons de France au Caire : le remploi de grands décors mamelouks et ottomans dans une architecture moderne, Le Caire, IFAO Press, 2012, 304 p. (ISBN2724706366)[8],[9]
Fous du Caire : excentriques, architectes et amateurs d’art en Égypte (1867-1914), Montpellier, L’Archange Minotaure, 2009, 297 p, (ISBN978-2-35463-039-3)
Architectes et architectures de l’Égypte moderne (1820-1950) : genèse et essor d’une expertise locale, Paris, Maisonneuve & Larose, 2005[10].
L'Égypte d'un architecte : Ambroise Baudry (1838-1906), avec Marie-Laure Crosnier Leconte, Paris, Somogy, 1998.
L'Architecture moderne en Égypte et la revue al-'imara (1939 - 1959), Le Caire, CEDEJ, 1988 (réimprimé en 2003).
Comme éditrice
Émile Prisse d’Avennes, un artiste-antiquaire en Égypte au XIXe siècle, Le Caire : IFAO Press, 2013.
Le Caire dessiné et photographié au XIXe siècle, Paris : Picard, 2013[11].
↑ a et bÉric Verdeil, « Mercedes Volait, Architectes et architectures de l’Égypte moderne (1830-1950). Genèse et essor d’une expertise locale, Paris, Maisonneuve et Larose, 2005. », Histoire Urbaine, , p. 172-174 (lire en ligne)
↑Décret du 20 juin 2022 portant promotion et nomination dans l'ordre national du Mérite (lire en ligne)
↑Jean Olivier Guilhot, « Volait Mercedes, Maisons de France au Caire. Le remploi de grands décors mamelouks et ottomans dans une architecture moderne. Photographies de Blas Gimeno Ribelles, IFAO, 2013, 304 p. », Revue des mondes musulmans et de la Méditerranée, no 140, (ISSN0997-1327, lire en ligne, consulté le )
↑(en) Ralph Bodenstein, « Mercedes Volait, Maisons de France au Caire. Le remploi de grands décors mamelouks et ottomans dans une architecture moderne = Buyūt Faransā fi l-Qāhira. Al-Athār al-mamlūkiyya wa-l-ʿuthmāniyya fi l-ʿimāra al-ḥadītha », ABE Journal, no 4, (ISSN2275-6639, lire en ligne, consulté le )
↑Elisabeth Longuenesse, « Volait Mercédès, Architectes et architectures de l’Égypte moderne. 1830-1950. Genèse et essor d’une expertise locale, Paris, Maisonneuve et Larose, 2005, 477 p. », Revue des mondes musulmans et de la Méditerranée, no 123, (ISSN0997-1327, lire en ligne, consulté le )
↑Nicolas Michel, « Volait Mercedes (dir.), Le Caire dessiné et photographié au XIXe siècle, Paris, CNRS, Picard (« D’une rive, l’autre »), 2013, 395 p. », Revue des mondes musulmans et de la Méditerranée, no 139, (ISSN0997-1327, lire en ligne, consulté le )
↑Rémi Labrusse, « Oulebsir Nabila et Volait Mercedes (dir.), L’Orientalisme architectural entre imaginaires et savoirs, Paris, CNRS et Picard, 2009, 300 p. », Revue des mondes musulmans et de la Méditerranée, no 127, (ISSN0997-1327, lire en ligne, consulté le )