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Martin Lejéas-Carpentier Pour les autres membres de la famille, voir François Antoine Lejéas. Martin Lejéas-Carpentier
Martin Lejéas-Carpentier, né le à Paris et mort le au château d'Aiserey, est un homme politique français. BiographieFils d'Antoine Lejéas, bourgeois de Paris et de Marie Anne Carpentier, il naît le à Paris. Il est reçu avocat au parlement de Dijon à l'âge de vingt ans. Au moment de la Révolution française, il est receveur général des fermes de cette ville. En 1800, le gouvernement consulaire le nomme maire de Dijon, poste qu'il occupe deux ans. Élu le (6 germinal an X) par le Sénat conservateur député de la Côte-d'Or au Corps législatif. Il siège parmi les zélés partisans du régime impérial jusqu'au , époque à laquelle un décret de Napoléon l'appelle au Sénat conservateur. Il fait encore partie de ce corps en 1814 mais il n'assiste pas à la séance où est votée la déchéance de l'empereur. La première Restauration ne l'appelle pas à la Chambre des pairs. Aux Cent-Jours, il y prend place le . Après Waterloo, il revient dans la Côte-d'Or et renonce à la politique. Officier de la Légion d'honneur[1], il est également chancelier de la 6e cohorte. Il meurt au château d'Aiserey le à l'âge de 83 ans, et est inhumé au cimetière de la même ville[2]. Sa fille, Marie Madeleine (1780-1827), épouse, le à Dijon, Hugues Bernard Maret, duc de Bassano.
Notes et références
AnnexesArticles connexes
Lien externe
Bibliographie
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