Marest éditeur

Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.

Cet article ou cette section contient trop de sources pour sa longueur, ce qui rend plus chronophage la vérification des informations tout en donnant le sentiment d'une tentative promotionnelle ().

Enlevez les sources superflues sur certains passages de cet article.

Marest éditeur
Repères historiques
Création 2016
Fondée par Pierre-Julien Marest
Fiche d’identité
Forme juridique SASU
Statut Indépendant
Slogan « Cinéma & Littérature »
Siège social Paris (France)
Titres phares Warhol/Hitchcock, Les dix meilleurs films de tous les temps, Survivre à Hollywood
Langues de publication Français
Site web https://www.marestediteur.com
modifier 

Fondée en 2016[1],[2], la société Marest Éditeur est une maison d’édition indépendante spécialisée dans les ouvrages de cinéma. Elle a été créée par Pierre-Julien Marest, ancien gérant des éditions Clairac[3],[4].

Histoire

La maison a publié plusieurs traductions de livres de cinéma, comme les mémoires de John Boorman (Aventures, prix 2018 du meilleur livre étranger sur le cinéma[5] du Syndicat français de la critique de cinéma et des films de télévision), Richard Fleischer (Survivre à Hollywood[6]), Lotte H. Eisner (J'avais jadis une belle patrie, préfacé par Werner Herzog), des textes ou entretiens inédits d’Alfred Hitchcock (Warhol/Hitchcock, Quoi est Qui ?[7]), ou une nouvelle traduction du Movie Journal de Jonas Mekas[8].

Par ailleurs, la maison publie des essais (La petite géographie réinventée de Leos Carax, de Jérôme d'Estais[9], honoré en 2021 par le prix du Meilleur livre de cinéma par la magazine Transfuge[10]), des œuvres oscillant entre essai et fiction (Les Dix Meilleurs Films de tous les temps de Luc Chomarat[11]), des récits (dont une enquête sur le cinéaste Pascal Aubier : Le Dormeur de Didier da Silva[12]) ou encore des ouvrages romanesques (S'abandonner de Séverine Danflous[13],[14]).

La maison publie une dizaine de livres par an[15].

Notes et références

  1. ↑ Antoine Scalogna, « Le CNC au secours du livre de cinéma - Les Inrocks », sur lesinrocks.com (consulté le ).
  2. ↑ « Marest Éditeur : des livres sur le cinéma faits d'“envie et de passion” », sur ActuaLitté.com (consulté le ).
  3. ↑ Etonnants Voyageurs, « MAREST Pierre Julien », sur Etonnants Voyageurs, (consulté le ).
  4. ↑ « Marest Éditeur : des livres sur le cinéma faits d'“envie et de passion” », sur ActuaLitté.com (consulté le ).
  5. ↑ « Prix du Syndicat français de la critique 2017 », sur Syndicat de la Critique de Cinéma (consulté le ).
  6. ↑ « Richard Fleischer, un résistant à Hollywood », sur LEFIGARO (consulté le ).
  7. ↑ « Hitchcock bavarde avec Warhol et dévoile ses secrets de tournage », sur Télérama (consulté le ).
  8. ↑ Cédric Lépine, « Défense et illustration du cinéma expérimental par Jonas Mekas », sur Club de Mediapart (consulté le ).
  9. ↑ « Toujours autant de films à l'affiche : faut-il voir "Présidents", "Annette", "Bergman Island", "Benedetta" ? », sur franceinter.fr (consulté le ).
  10. ↑ Isabel Contreras, « Le palmarès 'Transfuge' de la rentrée littéraire 2021 », sur livreshebdo.fr, (consulté le ).
  11. ↑ Serge Kaganski, « L'écrivain Luc Chomarat déclare son amour au cinéma sur un petit livre malin - Les Inrocks », sur lesinrocks.com (consulté le ).
  12. ↑ Mathieu Lindon, « Didier da Silva, 1974 année hypnotique », sur Libération (consulté le ).
  13. ↑ « Hannah Arendt, Moïse Maïmonide, Pajtim Statovci, Cécile Wajsbrot… Les brèves critiques du « Monde des livres » », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  14. ↑ « Cinéma week-end. Séverine Danflous se fait son cinéma », sur Franceinfo, (consulté le ).
  15. ↑ « Nouveautés Éditeurs - Résultats de la recherche »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur nouveautes-editeurs.bnf.fr (consulté le ).

Liens externes