Il fait partie des évêques de Tarentaise qui sont considérés comme saint par la tradition[6]. Toujours selon la tradition, son corps devait être inhumé dans la chapelle dite de Notre-Dame des corps saints de la cathédrale Saint-Pierre[7],[8].
↑ a et bOdette Pontal, Histoire des conciles mérovingiens, Paris, CNRS - Cerf - Institut de Recherche et d'Histoire des Textes, , 428 p. (ISBN978-2-20403-191-2), p. 291 (pp. 156-159dans la version en allemand).
↑Odette Pontal, Histoire des conciles mérovingiens, Paris, CNRS - Cerf - Institut de Recherche et d'Histoire des Textes, , 428 p. (ISBN978-2-20403-191-2), p. 291 (pp. 161-167dans la version en allemand).
↑Joseph-Antoine Besson, Mémoires pour l'histoire ecclésiastique des diocèses de Genève, Tarentaise, Aoste et Maurienne et du décanat de Savoye, S. Hénault, 1759 (copie de l'exemplaire bibliothèque cantonale et universitaire de lausanne), 506 p. (lire en ligne), p. 192.
↑Étienne-Louis Borrel, « La crypte de la métropole de Moutiers (Savoie) », Revue archéologique, vol. 36, no Nouvelle Série, , p. 337-343 (lire en ligne).