Le mandari, comme les autres langues nilotiques, dont les langues bari, différencie les voyelles selon leur lieu d'articulation. Elles sont soit prononcées avec l'avancement de la racine de la langue, soit avec la rétraction de la racine de la langue[7].
Les voyelles avec avancement de la racine de la langue sont [i], [e], [o], [ö], [u].
Les voyelles avec rétraction de la racine de la langue sont [ɪ], [ɛ], [ɔ], [a], [ʊ][5]
(en) Rainer Voßen, 1982, The Eastern Nilotes. Linguistics and Historical Reconstructions, Kölner Beiträge zur Afrikanistik n° 9, Berlin, Dietrich Reimer Verlag, (ISBN3-496-00698-6)
(en) Enike Amina Wani, Martin Lomu Goke et Tim Stirtz, « Mundari-English dictionary », Juba, = SIL International, Mundari Translation and Literacy Project,