De juin 2019 à 2021, elle est éditrice chez Ville-Marie Littérature[3]. À partir de septembre 2021, elle dirige, en tant que rédactrice en chef, la revue Lettres québécoises[4].
Elle publie en 2022 chez Mémoire d'encrier un essai intitulé « Baldwin, Styron et moi », qui porte entre autres sur l’appropriation culturelle[5],[6].
Spécialiste de l'autofiction, titulaire d'un doctorat en littératures de langue française obtenu en 2010 à l'Université de Montréal[7], elle fait son entrée en littérature à la fin des années 1990[8] et publie ses trois premiers ouvrages sous le nom de Mélika Abdelmoumen, sans le « h » à la fin de son prénom[8].
↑Mélikah Abdelmoumen, L’un contre l’autre : la dialectique de l’auteur et de la lectrice chez Serge Doubrovsky (thèse de doctorat en Littératures de langue française), Montréal, Université de Montréal, , 315 p. (lire en ligne)