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Elle est la fille de l'écrivaine Anne Duguël (Gudule) et du dessinateur et éditeur de bandes dessinées Paul Karali (Carali), et la nièce du dessinateur de bandes dessinées Édouard Karali (Édika).
Après avoir été parisienne pendant quelques années et notamment suivi une partie de sa scolarité au Lycée autogéré de Paris (LAP)[1], Mélaka vit depuis 2008 à Puycelsi avec Reno, son compagnon — lui-même dessinateur de bandes dessinées —, leur fille Maya, née le , et leur fils Alix, né le . Son frère Olivier Karali est également auteur de bandes dessinées, sous le nom d'Olivier Ka (série des Amédée Bill dans la revue Psikopat).
Elle a joué en 1997 un petit rôle dans le film de Jean RollinLes Deux Orphelines vampires. Dès 1998, elle travaille à la revue Psikopat en tant que maquettiste et secrétaire de rédaction, et entre 2004 et 2005, elle participe au magazine Spirou en compagnie des dessinatrices Cha et Laurel, avec leur rubrique 33 rue Carambole.
Elle scénarise et dessine plusieurs bande-dessinées éditées en album, dont Sous les bouclettes en 2018, bien accueilli par la critique bd[5],[6],[7],[8],[9].
Avec la fin du magazine Psikopat, elle lance en 2019 avec RenoMazette, nouveau média en ligne consacré à la bande-dessinée et au dessin de presse[10], lancé grâce à une campagne de financement participatif en ligne réussie[11]. En juin 2021, le média lance et réussit un appel à financement via un financement participatif pour continuer son activité[12]. Début 2022, juste avant l'élections présidentielle française, le média tire sa révérence en lançant un cri d'alerte pour qu'Emmanuel Macron ne soit pas réélu et pour que les lecteurs s'orientent vers le programme de La France insoumise[13].
↑Sous les bouclettes : la descente aux enfers d’une mère condamnée par la maladie, benzinemag.net, 29 avril 2018, par Laurent Proudhon : "Sous les bouclettes se révèle non seulement un vibrant hommage d’une fille à sa mère (« un cri d’amour, un cri d’adieu » dit Mélaka en préface), mais un témoignage généreux et bouleversant qui touchera tout le monde de près ou de loin. Sa portée est puissante, comparable sur le thème de la maladie à L’Ascension du Haut-mal de David B"