Luc Peiffer naît le à Bruxelles[1]. Il grandit à Etterbeek. Il fait ses études au Collège Saint-Michel. À l’âge de 15 ans, il s’inscrit en cours du soir à l’académie des arts de Woluwé-Saint-Pierre au cours de bande dessinée[2] donné par Guy Brasseur[3].
À l’âge de 18 ans, il publie ses premières planches dans le journal de Tintin, une histoire courte intitulée Identification en 1984[4].
Luc Peiffer est un sculpteur figuratif. Ses sculptures ne sont jamais fort éloignées de l'univers de la bande dessinée[7]. Plusieurs de ses œuvres sont présentées dans diverses galeries aux Pays-Bas[8],[9],[10].
En 2013, il gagne le Prix des Arts de Woluwé-Saint-Pierre avec une de ses nageuses, A Little Splash. L’œuvre est acquise par la commune pour être installée au solarium de Sportcity, le complexe sportif de Woluwé-Saint-Pierre. La petite nageuse est visible depuis l'intérieur de la piscine et fait écho aux baigneurs. L'œuvre est issue de l’imaginaire et de souvenirs personnels d’enfance de l’artiste[7]. Le bronze fut inauguré le [11].
En bande dessinée
En 2020, Luc Peiffer souhaite revenir à ses premières amours, la bande dessinée. Il propose une idée d'histoire à Pilar Pujadas, romancière et amie[12]. Celle-ci écrit le scénario complet et les dialogues de Un Amour suspendu[13],[7]. L'album est édité aux Éditions Kennes et sort le [14].
Il enseigne la bande dessinée à l’académie des arts de Saint-Gilles[15]. Il travaille ensuite comme illustrateur textile et crée en 1995 l’agence L&A Peiffer Communication & Design où il officie comme Directeur créatif dans la publicité et le packaging[2]. Il suit en parallèle une formation de sculpteur en cours du soir à l’académie de Woluwé-Saint-Pierre[16], avec successivement Didier Leemans et Patrick Guns comme professeurs[6].
Vie privée
Luc Peiffer est marié à Ann-Michèle Deceuninck, graphiste et peintre[2]. Il est le père du DJ belge Henri PFR[17],[18]. Ann-Michèle et Luc ont également une fille, Anna[17].