Louis-Joseph Vionnet naît le à Longevilles dans le Doubs[2]. Il est le fils d'un cordonnier et d'une dentellière.
Il est ouvrier mineur[3], dans une mine de fer locale. Il est recteur de l'école de Métabief.
Il entre au service en 1789[4], s'enrôle en tant qu'aspirant d'artillerie. Sous-lieutenant en 1792, il participe à toutes les campagnes de la Première République puis du Premier Empire.
Le , il est chevalier de Maringoné[5]. Colonel en 1813 puis en 1814 maréchal de camp[1], il est fait baron de Maringoné la même année[5].
« Vionnet (Louis-Joseph) », dans La Revolution française, vol. 16, Charavay frères, (lire en ligne), p. 372
Jean-Marie Thiébaud, « Vionnet Louis-Joseph », dans Les français et les suisses francophones en Russie et en URSS du Moyen Âge à nos jours, GeneaGuide, , 462 p. (ISBN9782844890955, lire en ligne), p. 373
Lars Öhrström, Le dernier Alchimiste à Paris, EDP Sciences, 265 p. (lire en ligne), p. 189