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Le choix de la "première" détection dépend de la définition adoptée ainsi que de la date de confirmation. En effet les deux systèmes détectés avant 1994 ont chacun un inconvénient : Gamma Cephei Ab n'a été confirmée qu'en 2002, tandis que les planètes PSR B1257+12 b et PSR B1257+12 c orbitent autour d'un pulsar. Cela mène finalement à 51 Pegasi b (découverte et confirmée en 1995) comme la première confirmation d'exoplanète orbitant autour d'une étoile normale.
Titre
Planète
Étoile
An
Remarques
Première détection d'exoplanète avec confirmation ultérieure
Première détection convaincante d'exoplanète orbitant autour d'une étoile semblable au Soleil[2]. Alors que la masse minimale de HD 114762 b était suffisamment élevée (11 masses de Jupiter) pour qu'il puisse s'agir d'une naine brune, la masse minimale de 51 Peg b impliquait avec quasi-certitude qu'elle était de l'ordre de la masse de Jupiter.
C'est la deuxième planète détectée par transit[3], ainsi que la planète connue la plus éloignée au moment de la découverte[3]. La première planète extrasolaire découverte par les méthode du transit était HD 209458 b, auparavant découverte par la méthode des vitesses radiales[3],[4].
Découverte par réflexion lumineuse sur un nuage de poussière entourant la planète[8]. Première planète en orbite autour d'une étoile de type spectral ABO. En 2020, cet objet a été déterminé comme étant un nuage de débris en expansion provenant d'une collision d'astéroïdes plutôt qu'une planète[9].
Des déviations de temps et durée de transit ont été mesurés en observant la planète Kepler-88 b, ce qui a permis d'inférer la présence de Kepler-88 c[13].
Cette planète avait été découverte auparavant par la méthode de vitesse radiale. C'est aussi la première planète qui a été détectée par plusieurs méthodes[3],[4].
Première planète observée par imagerie directe (infrarouge)
Il pourrait s'agir d'un sous-naine brune plutôt que d'une planète, selon le mécanisme de formation et les définitions choisies. Si c'est une planète, c'est la première planète connue autour d'un naine brun.
Première détection d'éclipse d'exoplanète (infrarouge)
La masse révisée la place au niveau ou au-dessus de la limite de la combustion du deutérium[16]. Il peut s'agir d'une sous-naine brune plutôt que d'une planète, selon le mécanisme de formation et les définitions choisies.
Premières planètes caractérisées par des observations astrométriques
Kepler-16 b elle-même a été détectée par la méthode de transit. Il y a eu des étoiles avec des détections antérieures par éclipses d'étoiles binaires. Cependant, ces signaux ont coïncidé avec des orbites instables ou bien les orbites exactes ne sont pas connues[21].
Première planète détectée par des variations de lumière dues à l'effet de "relativistic beaming"
Première planète extrasolaire découverte par image en lumière visible. En 2020, cet objet a été déterminé comme étant un nuage de débris en expansion provenant d'une collision d'astéroïdes plutôt qu'une planète[9].
Première planète en orbite autour d'une naine rouge
Peut en fait être une sous-naine brune au lieu d'une planète, selon le mécanisme de formation et les définitions choisies. Première planète directement imagée.[réf. nécessaire]
Mu Arae c (découvert en 2004) a été proposée comme une planète terrestre, mais sa nature terrestre n'est pas confirmée, car aucune mesure radiale n'est disponible, donc la densité est encore inconnue. Sa masse minimale est comparable à celle d'Uranus, qui n'est pas une planète tellurique. La première planète extrasolaire dont on a découvert qu'elle avait une densité compatible avec le fait d'être une planète rocheuse est CoRoT-7b en 2009. 55 Cancri e s'est avérée être une planète tellurique en 2011.
En orbite autour d'une étoile naine rouge. La nature glacée de cette planète n'est pas confirmée, car aucune mesure de rayon n'est disponible, donc la densité est inconnue. La première planète extrasolaire connue pour avoir une densité compatible avec le fait d'être une planète glacée est GJ 1214 b, bien que celle-ci aussi soit encore discutée.
En orbite autour d'une étoile naine rouge. Cette planète orbite un peu trop loin de l'étoile, mais l'effet de serre serait suffisant pour rendre cette planète habitable. L'autre planète océan candidate, GJ 1214 b, a été détectée par transit avec densité compatiable avec une planète océan. Désormais contestée[30],[31].
Kepler- 62f a été la première planète définie proche de la taille de la Terre découverte dans la zone habitable de son étoile[33],[34]. La planète candidate douteuse Gliese 581g a été découverte en 2010. Cette planète peut être verrouillée par les marées sur son étoile mère, mais il pourrait y avoir une bande habitable le long du terminateur.
Première planète en orbite autour d'une étoile semblable au Soleil dans un amas ouvert
Kepler-89d partiellement occultée par Kepler-89e[36].
Première planète en transit découverte dans un amas d'étoiles
Kepler-66b Kepler-67b
Kepler-66 Kepler-67
2013
Dans l'amas d'étoiles NGC 6811. Ces deux planètes n'étaient, au moment de la découverte, que deux des six planètes totales connues en amas d'étoiles[37].
Première carte de la couverture nuageuse d'une planète extrasolaire
↑Charpinet, S. and Fontaine, G. and Brassard, P. and Green, EM and Van Grootel, V. and Randall, SK and Silvotti, R. and Baran, AS and Østensen, RH and Kawaler, SD, « A compact system of small planets around a former red-giant star », Nature, Nature Publishing Group, vol. 480, no 7378, , p. 496–499 (PMID22193103, DOI10.1038/nature10631, Bibcode2011Natur.480..496C, S2CID2213885)
↑(en) Dennis Overbye, « NASA’s Kepler Telescope Finds Planet Orbiting Two Stars », The New York Times, (lire en ligne, consulté le )
↑Photometrically derived masses and radii of the planet and star in the TrES-2 system: Thomas Barclay, Daniel Huber, Jason F. Rowe, Jonathan J. Fortney, Caroline V. Morley, Elisa V. Quintana, Daniel C. Fabrycky, Geert Barentsen, Steven Bloemen, Jessie L. Christiansen, Brice-Olivier Demory, Benjamin J. Fulton, Jon M. Jenkins, Fergal Mullally, Darin Ragozzine, Shaun E. Seader, Avi Shporer, Peter Tenenbaum, Susan E. Thompson
↑(en) « A Rogue Earth-Mass Planet Has Been Discovered Freely Floating in the Milky Way Without a Star », Universe today, (lire en ligne, consulté le )