Le film se passe près des gorges du Verdon et raconte l'histoire de Maguy (la mère de la réalisatrice[1]) qui arrivant à la retraite doit vendre son troupeau de chèvres à une jeune agricultrice.
Annie Burger-Roussennac, « Mère et fille bergères à la campagne. Le retour à la terre dans le sillage de Mai 1968 quarante ans après », Cahiers d’histoire. Revue d’histoire critique, no 125, , p. 206 - 208 (lire en ligne)
Sophie Audier, Sylvia Calle et Joyce Sebag, « Les Chèvres de ma mère. Un documentaire de Sophie Audier », La nouvelle revue du travail, no 13, (lire en ligne)