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Des gendarmes s’aventurent sur les toits d’une demeure où un cambriolage est commis. Les audacieux voleurs s’en prennent à leurs poursuivants en leur versant de l’eau sur la tête et en tentant de les assommer avec les tableaux objets de leur rapine. Victoire des malandrins qui réussissent à se débarrasser de leurs adversaires en les précipitant du haut des toits.
Analyse
Une des premières illustrations du film comique construit sur le thème de la poursuite tourné dans un décor de carton-pâte.
La datation retenue ici — 1898 — est celle du coffret de DVD Le cinéma premier 1897-1913 volume 1 édité par Gaumont en 2008 alors qu’IMDB propose 1897.
Une « vue animée » au scénario et aux décors (réalisés par Jambon[2]) quasi identiques existe sous la signature de Georges Hatot, produit par la Société Lumière : Poursuite sur les toits (Rooftop chase, 1898)[3].
L'historienne Alison McMahan rappelle qu'Alice Guy ne s'embarrasse guère de la propriété intellectuelle et s'inspire, parfois servilement, des succès du moment[2].
↑ a et b(en) Alison McMahan, Alice Guy Blaché : Lost Visionary of the Cinema, Bloomsbury Publishing USA, , 408 p. (ISBN978-1-5013-0269-5, lire en ligne)
↑(en) Collection Cinémathèque française (Library of Congress) et Hatot Georges, « Poursuite sur les toits », The Library of Congress, (lire en ligne, consulté le )