Thomas part à Kullorsuaq au Groenland avec son ami Thomas pour voir son père qui y vit depuis une vingtaine d'années. Les deux jeunes comédiens vont découvrir une communauté inuit relativement isolée du monde.
Pour Sophie Avon, dans Sud Ouest, Le Voyage au Groenland est « une fable à haute valeur ajoutée [...], une comédie anthropologique où la fiction amicale et filiale qui s’y déploie met face à face des personnages attachants, dessinés d’une plume légère et juste : Thomas et Thomas, donc, mais aussi Nathan, le père, et tous les habitants de Kullorsuaq qui tels des dieux bien disposés, veillent sur leurs invités et leur donnent une idée de ce qui les dépassent. Comme dans tout bon récit d’apprentissage, ils leur enseignent à être plus grands. »[2].
Pour Théo Ribeton, dans Les Inrockuptibles, Le Voyage au Groenland est un film « délibérément naïf [...] qui défile à la fois comme une BD initiatique et une petite comédie du déphasage. »[3].
Pour Jacques Morice, dans Télérama, Le Voyage au Groenland est une « comédie douce-amère, qui prend son temps pour nous toucher, nous faire rire ou rêver, dans des paysages de glace insolites. Le scénario aurait mérité d'être un peu plus étoffé — le caractère juvénile des antihéros et leur maladresse virent parfois à la facilité. Mais le film parle bien des différences culturelles et de la difficulté à se réaliser. Et exhale un charme certain, dépaysant à coup sûr. »[4].