Le film a été spécialement commandé à Man Ray par Tristan Tzara pour être projeté avant une représentation de sa pièce de théâtre le Cœur à gaz[1].
Synopsis
Des formes géométriques mobiles se croisent, se transforment en relief, et des ombres sont projetées sur le buste d'une femme (Alice Prin), connue sous le nom de « Kiki de Montparnasse »[2].
Deke Dusinberre, « Le Retour à la raison, sens et non sens », dans Jean-Michel Bouhours et Patrick de Haas, Man Ray : directeur du mauvais movies, Centre Georges Pompidou, (ISBN2-85850-943-3, lire en ligne), p. 26-39
Christian Lebrat, « Attention danger ! Le Retour à la raison, ou la leçon de Man Ray », dans Jeune, dure et pure ! une histoire du cinéma d'avant-garde et expérimental en France, Cinémathèque française/Mazzotta, (ISBN2-900596-30-0), p. 91-94
Philippe-Alain Michaud, « Man Ray : Retour à la raison », dans Dada (exposition, Centre Pompidou, Galerie 1, du 5 octobre 2005 au 9 janvier 2006), Centre Pompidou, (ISBN2-84426-277-5), p. 666-667 — texte repris dans : Philippe-Alain Michaud, « Improvisation : Man Ray, Le Retour à la raison, 1923 », dans Collection films: la collection du Centre Pompidou, Musée national d'art moderne, Centre Pompidou, (ISBN978-2-84426-579-1), p. 49-51