Lors d’une représentation théâtrale, un des comédiens de la Comédie-Française meurt sur scène. Martin, son ami et collègue, est enlevé et sa disparition le fait passer pour suspect. Sa cavale va lui faire croiser la route d’une dessinatrice de bandes dessinées, Claire, et, ensemble, ils vont mener leur propre enquête.
On trouve dans Le Parfum vert de nombreuses références à l'univers de la bande-dessinée belge, notamment à l'univers de Hergé avec deux inspecteurs de police qui ressemblent à une version moderne de Dupont et Dupond.[réf. nécessaire]
On trouve également de nombreuses références à l'univers cinématographique d'Alfred Hitchcock. L'affiche reprend les codes visuels de La Mort aux trousses ou de Sueurs froides. Le chuchotement de l'acteur assassiné fait penser à L'Homme qui en savait trop[Lequel ?]. Une scène dans le train qui conduit Martin et Claire à Budapest fait penser à La Mort aux trousses. Les vues plongeantes de l'escalier rappellent Sueurs froides.[réf. nécessaire]
Fernando Ganzo, « Espions sur le Danube », Cahiers du cinéma, no 793, , p. 46, suivi de « L'humour aux trousses », entretien avec Nicolas Pariser, p. 48