L'histoire, autobiographique[1], se déroule dans les années 1980 à Beyrouth Est, près de la ligne verte, la ligne de démarcation qui séparait l'est et l'ouest de la capitale libanaise durant la guerre civile du Liban[2]. Plus précisément, le récit correspond à une nuit d’attente, dans l’entrée de son appartement avec les voisins, à guetter avec angoisse le retour des parents, bloqués chez la grand-mère par des bombardements[3].
↑« Prix Artemisia : les nommées », toutenbd.com, (lire en ligne).
Annexes
Documentation
Jacqueline Jondot, [Beyrouth] Catharsis. Mourir, Partir, Revenir ; Le jeu des hirondelles, Zaina Abirached, 2006-2007. In: Horizons Maghrébins - Le droit à la mémoire, N°57, 2007. Créations palestiniennes. pp. 192-193. Lire en ligne (Persée).
Carla Calargé et Alexandra Gueydan-Turek, « La guerre du Liban à/et l’écran des souvenirs dans : Le Jeu des hirondelles et Je me souviens. Beyrouth de Zeina AbiRached », French Cultural Studies(en), vol. 25, no 2, , p. 202-220 (DOI10.1177/0957155814520908).
(en) Emma Monroy, « Creating Space: Zeina Abirached's Mourir partir revenir: Le jeu des hirondelles », Contemporary French and Francophone Studies, vol. 20, nos 4-5, , p. 581-598 (DOI10.1080/17409292.2016.1216064).