Le film a été inspiré par l’histoire de la militante palestinienne Ahed Tamimi.
Synopsis
Y., un metteur en scène de cinéma israélien, fait le casting de son nouveau film centré autour du personnage d'Ahed Tamimi. Il accepte d'aller présenter l'un de ses anciens films à Sapir(en), un petit village du désert de l'Arabah. Mais sa prestation ne lui sera payée, lui annonce Yahalom, jeune fonctionnaire au ministère de la Culture, que s'il accepte de signer un certain formulaire, pour le moins problématique.
Pour ne rien arranger, la mère du cinéaste se meurt d'un cancer.
Le film a été sélectionné pour concourir pour la Palme d’Or au Festival de Cannes 2021, il a été présenté en première le 7 juillet 2021 au festival (voir § Distinction/Récompense ci-après). Il a également été sélectionné dans la section « Icon » du 26e Festival international du film de Busan et a été projeté au festival en octobre 2021[2]. Il a été invité dans la section Soul of Asia du 52e Festival international du film d'Inde pour une projection en novembre 2021[3].
Accueil critique
En France, le site Allociné recense une moyenne des critiques presse de 3,4/5[4].
↑« Come, Experience the "Soul of Asia" at IFFI 52; Six films under Soul of Asia film section to present the microcosm of the world's largest continent », PIB GOI, (lire en ligne, consulté le )
Courrier international, « Israël sondé jusqu'à l'os. Avec le Genou d'Ahed, qui sort en France ce 15 septembre, Nadav Lapid livre sans doute son film le plus radical. Il y interroge sa mission de cinéaste dans l'Israël d'aujourd'hui. », Courrier international no 2021, Courrier international S.A., Paris, , p. 53, (ISSN1154-516X).
Olivia Cooper-Hadjian, « Israël désarticulé », Cahiers du cinéma, no 779, septembre 2021, p. 18
Fernando Ganzo, « Le Ciel, la Terre et Tinder », entretien avec Nadav Lapid, Cahiers du cinéma, no 779, septembre 2021, p. 22
Ariel Schweitzer, « Sortir Le Genou en Israël », Cahiers du cinéma, no 779, septembre 2021, p. 25