Lady Mary Fitzwilliam
'Lady Mary Fitzwilliam' est un cultivar de rosier obtenu avant 1882 par le rosiériste anglais Henry Bennett (1823-1890). C'est l'un des premiers hybrides de thé et le premier en Angleterre, ouvrant la voie aux roses du XXe siècle ; il est issu d'un croisement 'Devoniensis' (rosier thé, Foster, 1838) x 'Victor Verdier' (hybride perpétuel, Lacharme, 1859) ; il est à l'origine, en tant que parent pollen, d'un grand nombre de descendants[1] (plus de 1 300)[2], grâce à ses qualités reconnues par les hybrideurs. Il doit son nom à une aristocrate anglaise, lady Mary Fitzwilliam (1851-1921), épouse de Hugh Le Despencer-Boscawen (1849-1908). DescriptionCet hybride de thé historique[3] présente de grandes fleurs rose pâle fortement parfumées[4]. Elles sont pleines, en forme de coupe, comptent de 26 à 40 pétales[5]. Ce rosier est remontant[6]. Son buisson s'élève de 60 cm à 80 cm. Sa zone de rusticité est de 6b à 9b ; il résiste donc aux hivers froids. Il doit être soigné contre la maladie des taches noires[5]. DescendanceParmi ses descendants, l'on distingue
Notes et références
Bibliographie
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