La jeune Charlotte arrive au volant de sa voiture dans une région isolée et s’arrête pour prendre Max, un autostoppeur. Lors de leur halte à un restaurant routier tenu par la bizarroïde Spack, Max va aux toilettes et disparaît. Charlotte, inquiète, revient la nuit pour tenter de le retrouver, mais elle est faite prisonnière par la Spack qui n'a qu'une idée : la jeter en pâture à une meute de goules affamées…
FanTasia[4] : le critique estime que « le réalisateur [mise] plutôt sur l’élaboration d’une atmosphère crade et malsaine (...) [et] apporte également à son film une dose d’humour noir bienvenue. »
Toutleciné.com[5] apprécie « l'atmosphère assez particulière [que le film] parvient à installer » et affirme que « ce premier film accomplit sa mission et prouve que l'horreur à la française peut exister sans être ridicule. »
L'écran Fantastique : (...) le récit se perd dans des retournements de situations improbables et des motivations des personnes injustifiées.
Le Monde : (...) le traitement graphique de ces créatures est si banal qu'elles pourraient aussi bien exercer leur emploi dans un manga japonais que dans une série Z américaine.
Télérama : le critique estime que c'est "Le nanar de la semaine" à sa sortie.
↑Motivation de la mention CNC : « Ce film qui mélange les genres (film de torture et film de zombies) comporte, notamment dans sa première partie, des scènes d'humiliation et de torture qui justifient, aux yeux de la Commission, une interdiction aux moins de seize ans. »
↑Extrait de la présentation par Simon Laperrière publiée sur le site de FanTasia Festival.com, en prévision de la première projection nord-américaine le .
↑À la demande de la commission de classification du CNC, sa projection publique et gratuite prévue au Cinéma de la Plage a été annulée (à cause de sa prévisible interdiction aux moins de 16 ans) et le film a été projeté dans la salle Buñuel du Palais des Festivals et des Congrès. Source : édition de L'Express.fr du .