Après des études à l'École de musique de Tokyo, il a quitté le Japon pour l'Allemagne où il s'inscrit à la Hochschule de Berlin et a appris la composition, avant d'aller aux États-Unis pendant deux ans .
Yamada a laissé environ 1 600 compositions musicales. On trouve surtout des chansons (lieder) dont le nombre s'élève à 700. Son opéra Kurofune (Les Navires noirs) est considéré comme l'un des plus célèbres opéras japonais.
Hsìang Fei (1946) (quatre actes, sept scènes avec un proemnia)
Autres œuvres pour la scène
Maria Magdalena pour ballet, d'après le drame de Maeterlinck (1916) (les esquisses pour piano étaient complètes mais sont à présent perdues ; elles n'ont jamais été développées)
Herd, Judith Ann. 1996. "Westliche Musik und die Entstehung einer japanischen Avantgarde", translated by Annemarie Guignard and Elisabeth Seebass. In Musik in Japan: Aufsätze zu Aspekten der Musik im heutigen Japan, edited by Silvain Guignard, 219–40. Munich: Iudicium, 1996. (ISBN3-89129-299-6)
Pacun, David. 2006. “‘Thus we cultivate our own World, thus we share it with others: Kósçak Yamada's Visit to the United States, 1918–19,” American Music 24/1, 67–94.
Pacun, David. 2008. “Style and Politics in Kosaku Yamada’s Folk Song Arrangements, 1917–1950.” In 'Music of Japan Today' edited by E. Michael Richards and Kazuko Tanosaki, (Cambridge Scholars Publishing, 2008), 39–54.