Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes » ().
Septième enfant d’une famille marquée par le catholicisme social[1], Joseph Thouvenel abandonne ses études à 16 ans et enchaîne les petits boulots comme homme de ménage dans des sociétés de nettoyage[2].
Il entre ensuite à la Bourse de Paris comme garçon de recette à la charge Leven[3] avant d’intégrer l’Autorité des marchés financiers à la commission des sanctions[4].
Il adhère à la CFTC (Confédération Française des Travailleurs Chrétiens) en 1983[5] et crée une section syndicale à la bourse de Paris. En 2002, il est élu secrétaire général adjoint de la CFTC lors du Congrès de Toulouse[6], puis réélu en 2005 et 2008[7]. Il est également membre du conseil exécutif de la Confédération syndicale internationale[8] et de celui de la Confédération européenne des syndicats[9]. Lors du Congrès 2011, il est élu vice-président[10] en charge des questions économiques et internationales et participe à ce titre à la négociation de l’accord national interprofessionnel de 2013[11]. En 2016, sa participation à La Manif pour Tous sème le trouble dans son syndicat[12],[13].
Joseph Thouvenel a par ailleurs publié en 2017 une sélection de ses chroniques tenues sur Radio Notre-Dame depuis 2009[14]. Il est un invité régulier sur CNEWS[15], où il tient un discours de déni du changement climatique[16].
Marié et père de deux enfants[5], Il témoigne régulièrement que le fil rouge de son engagement est et a toujours été la Doctrine sociale de l’Eglise[17].
