1781 : Les Deux Morts ou la Ruse de carnaval, Le Fou raisonnable ou l'Anglais et Le Mariage de Toinette ou la Fête bretonne
1782 : Il ne faut pas dire fontaine, je ne boirai pas de ton eau et L'Heureuse Supercherie
1783 : L'Heureuse Erreur, La Pension genevoise ou l'Éducation, La Kermesse ou la Foire flamande et La Résolution inutile ou les Déguisements amoureux
1784 : Le Conciliateur à la mode ou les Étrennes au public
1786 : Les Méprises par ressemblance
1787 : Toinette et Louis et Isabelle et Rosalvo
1789 : L' Amour, la raison et les Volontaires orléanais, L'Heureuse Ressource et Les Deux Frères
1790 : La Fausse Nièce et Le Sourd et l'Aveugle
1791 : Adélaïde et Mirval ou la Vengeance paternelle[1], musique de Trial fils, comédie en trois actes et en vers mêlée d’ariettes, créée au Théâtre-Italien (salle Favart), La Menteuse par point d'honneur et Le Débat des muses
1792 : Les Deux grenadiers ou les Quiproquos et L'Officier de fortune ou les Deux Militaires
1793 : L'Heureux Quiproquo ou le Présent et Le Valet mal servi
1795 : Toberne ou le Pêcheur suédois
1796 : L'Orpheline
1797 : Mirza ou le Préjugé de l'amitié, L'Espiègle, La Petite Ruse et Le Complot inutile
1798 : Les Amants protées ou Qui compte sans son hôte compte deux fois et La Vengeance
1799 : François et Rouffignac
Notes et références
↑La paternité de l’intrigue de la pièce est également revendiquée par Louis-Sébastien Mercier qui est l’auteur du drame Le Déserteur. Réimpression de l'ancien Moniteur : depuis la réunion des États-Généraux jusqu'au Consulat (mai 1789-novembre 1799) (notes explicatives par Léonard Gallois), vol. 4, Paris, Plon frères, , 750 p., 32 vol. ; 28 cm (lire en ligne), « Mercredi », p. 689 col. 3.