Jean HytierJean Hytier
Jean Hytier est un poète et essayiste français né le dans le 11e arrondissement de Paris et mort le à Manhattan[2],[3]. Il publie son premier recueil, Le violon chante et pleure, en 1916. Il est alors en seconde au collège Rollin. L'année suivante, il a pour professeur de philosophie Jules Romains, dont l'influence sera sur lui très grande. Quelques années plus tard, alors qu'il est professeur au collège de Charolles, il fonde une revue, Le mouton blanc, qui veut être "l'organe du classicisme moderne". Ce classicisme, qui doit beaucoup à l'unanimisme, Jean Hytier l'illustrera dans ses nouveaux recueils, La belle sorcière (1924) et La cinquième saison (1933). Professeur à l'université de Téhéran, puis à la faculté des lettres d'Alger, il est nommé directeur du Service des lettres au ministère de l'Education nationale par le gouvernement d'Alger, pendant la guerre. Il occupe ces fonctions en France jusqu'en 1948. Depuis cette date, il est professeur à l'université de Columbia. On lui doit de nombreux essais touchant à la poésie (Le plaisir poétique, 1923; Les techniques modernes du vers français, 1923; La poétique de Valéry, 1953) et l'édition des Œuvres de Paul Valéry dans la Pléiade. Œuvres
PrixNotes et références
Bibliographie
Liens externes
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