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Né en 1950 à Marrakech[2], Jean-Marc Petit (de son nom d'état civil) passe son enfance en Alsace ; dès l'adolescence, il montre un intérêt pour l'art et la peinture. Il se rend régulièrement aux expositions du musée d'Art moderne de Strasbourg.
Sa carrière démarre de façon autodidacte après des études de physique-chimie à Strasbourg (université Louis Pasteur) qu'il ne termine pas. Pour pouvoir assumer financièrement son activité artistique, il travaille d'abord comme postier.
Carrière
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1978 représente un tournant, puisqu'il obtient un poste d'enseignant aux Beaux-Art de Saint-Étienne malgré l'absence de formation artistique. Il sera amené à s'occuper de l'atelier de gravure en 1985. La reconnaissance de l'enseignement artistique, après celle de l'institution muséale, officialise « Scanreigh » (le pseudonyme qu'il a choisi pour signer son œuvre)[6]
Vie privée
J.-M. Scanreigh est marié à Françoise Biver avec qui il a un enfant.
Il étudie aux Beaux-Arts de Strasbourg en 1973 et expose cette année là dans la galerie Les Idées et les Arts[2]. En 1976, le musée d'art moderne de Strasbourg lui consacre une exposition. Durant cette période il présente ses œuvres essentiellement en Alsace et en Allemagne (Lahr, RFA)[7].
La peinture sera le premier médium investi par l'artiste. Le déclic de proposer son travail à des galeries se produit après une exposition du mouvement Support/Surfaces à la librairie-galerie Les Idées et les Arts de Strasbourg. C'est dans cette même galerie que le jeune artiste montre ses premières toiles.
Au début des années 1980 et de façon progressive l'abstraction cède la pas à la figuration. L'artiste se libère de ses premières influences (Hantaï, Support/Surface, Louis Cane) et trouve une forme d'expression plus personnelle[réf. souhaitée][10]. En s'éloignant des effets de mode du début des années 1980 et adoptant cette démarche, l'artiste rencontre quelques difficultés à se faire exposer de nouveau dans les lieux qui l'ont accueilli à ses débuts. Parallèlement, l'artiste trouve à Lyon (et Villeurbanne la ville limitrophe de Lyon) où il habite depuis 1983 de quoi intégrer l'estampe à son travail. Il se renouvelle par la réalisation de nombreux bois gravés et de nombreuses lithographies.
J.-M. Scanreigh expose régulièrement en France et à l'étranger : dans plusieurs galeries à Lyon[11], Saint-Étienne et Genève ; certaines institutions font des acquisitions[12][réf. nécessaire]. Dans ce nouveau contexte, ses peintures viennent s'enrichir vers 1986 de collages utilisant ses propres estampes et les peintures chatoyantes de l’artiste sont ponctuées de touche souvent en noir et blanc issus des collages.
En 2010, il est le premier artiste à bénéficier du changement du statut des universités françaises qui leur permet d'acquérir des œuvres d'art. Ainsi l'université Lyon 3 inaugure une salle de la Manufacture des tabacs, à Lyon, avec un choix de tableau de l'artiste[13].
Estampe
L'œuvre gravé de Jean-Marc Scanreigh est prolifique : estampes en bois gravé, lithographies, eaux-fortes (gravure sur cuivre) dont certaines sont rehaussées de couleur ou enrichies de collages issus de précédentes estampes ou dessins. Une partie de ces estampes a été produite par l'artiste lui-même, d'autres ont été réalisées dans des ateliers réputés, Urdla, Lacourière-Frélaut, Item. Il en est sorti :
Une série de lithographies produite dans l'atelier lyonnais de l'Urdla[14].
Donation et fonds Chomarat à la bibliothèque de Lyon
En 1988, un dépôt de 332 estampes se fait à la bibliothèque municipale de Lyon. Cette donation est accompagnée d'une exposition. Le fonds Michel-Chomarat sera enrichi plus tard d'une dizaine de milliers de croquis, dessins sur feuille libre et divers carnets de croquis, etc.
En 1993, la production des estampes évolue par la réalisation de placards. J.-M. Scanreigh réalise un ensemble d’estampes dans lesquelles des écrivains participent par l’écriture de courts poèmes ou d'aporismes. Une pratique qui l'amène vers le livre d'artiste édité sous des noms d'éditeurs fictifs. Bois gravés, linos, sérigraphies, eaux-fortes viennent s’insérer au milieu de textes le plus souvent imprimés de façon artisanale. Des dessins originaux viennent souvent enrichir des éditions de tête. En tout, ce sont quelque 150 livres qui seront produits jusqu’à aujourd’hui.
Publications
Daniel Sardet. LGL, Le Grand Léviathan. Maison du livre de Pérouges, 1989. Avec 8 bois gravés de Jean-Marc Scanreigh. Typographie de Michel Chomarat. 85 exemplaires signés par l'auteur, l'illustrateur et le typographe.
Je touche du bout du doigt, avec Jean-Marc Scanreigh, diptyque, gravures sur bois. 1994.
debout... et au bout..., poèmes-affiches avec Jean-Marc Scanreigh, 1994
De près, de plus loin, dessins et gravures de Jean-Marc Scanreigh, Guillaume Dumée, 1996
Sans faire d’histoire, avec Jean-Marc Scanreigh, 1997
Le Bonnet d’âne, ill. Jean-Marc Scanreigh, Ed. du Rouleau libre, 1999.
Nikolaï Alexeievitch Zabolotski, Etoiles, Roses et carrés avec Christian Mouze, Pierre Mréjen et Jean Marc Scanreigh ; Marseille, éditions du Rouleau libre
Jean-Marc Scanreigh et Françoise Biver ont réalisé un ensemble de projets et notamment d'articles sur l'art pour le compte de revues et de magazines. Cette collaboration entre l'artiste et sa femme révèle indirectement un ensemble d'influences dans l'œuvres de Scanreigh et/ou au moins d'intérêt pour certains champ de l'art[réf. souhaitée], parmi lesquels on[Qui ?] retrouve les thèmes courant de l'édition, de l'art brut, du dessin de presse, de forme d'art très graphique (comme les graphzines issus de la bande dessinée)…
Cette collaboration commence avec la création d'une revue Avant-Guerre[5] avec Christian Bernard et Didier Semin en 1980, revue qui s'arrêtera après le troisième numéro.
Expositions
Exposition personnelle au Centre Georges-Pompidou dans le cadre des Ateliers d'aujourd'hui, 1979
Participation à l'exposition « Après le classicisme » au musée d'Art contemporain de Saint-Étienne, 1980
Bibliothèques de Lyon, Mulhouse, Strasbourg, Nice, Nîmes[19]
Notes et références
↑Art & Métiers du livre n° 258, février-mars 2007, œuvre de Scanreigh en couverture ; article intérieur : « Jean-Marc Scanreigh, le titan de la création ».