Jean-Jacques Rosa soutient en 1970 une thèse de doctorat en économie intitulée Le dualisme dans le processus de developpement à l'université de Paris[1].
Parcours professionnel
Jean-Jacques Rosa a enseigné à l'Institut d'études politiques de Paris. Il y dirige le MBA, un DESS, ainsi qu'un diplôme d'établissement dédié à la finance et aux marchés financiers[2]. Il en est aujourd'hui professeur émérite[3].
En 1977, il participe à la fondation des Nouveaux économistes, qu'il quitte après une dispute[5].
D'orientation libérale, il est partisan d'une « sortie » de l'euro[6],[7],[8]. Il est l'un des responsables français de POMONE avec Alain Cotta, Jean-Pierre Gérard, Roland Hureaux, Philippe Murer, Michel Robatel et Gérard Lafay.
↑Mossuz-Lavau, Janine, « Que sont devenus les clubs ? », Revue française de science politique, Persée, vol. 20, no 5, , p. 964–973 (DOI10.3406/rfsp.1970.418016, lire en ligne, consulté le ).
↑Kevin Brookes (dir. Emmanuel Taïeb), Diffusion et transformation du néo-libéralisme en France des années 1960 aux années 1980 : l'Association pour la liberté économique et le progrès social et les « Nouveaux Économistes » (mémoire de master 2 en science politique), Grenoble, Institut d'études politiques de Grenoble, (lire en ligne), p. 124.