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Jean-François Louis d'Orsay Pour les articles homonymes, voir Orsay (homonymie).   Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes » (). Vous pouvez améliorer la vérifiabilité en associant ces informations à des références à l'aide d'appels de notes.
Jean François Louis Marie Albert Gaspard Grimod, 3e comte d'Orsay, dit Albert d'Orsay, né le à Paris[1], mort le à Rupt-sur-Saône (Haute-Saône), est un général français de la Révolution et de l’Empire. Origines et lignageFils de Pierre Gaspard Marie Grimod d'Orsay et de Marie-Louise-Amélie de Croÿ (1748-1772), fille du prince Guillaume-François de Croÿ-Solre. Il épouse en 1801, Éléonore de Würtemberg, baronne de Franquemont (1771-1833)[2]. Le couple a un fils, le dandy Alfred d'Orsay et une fille, Ida [Anna], duchesse de Gramont. États de serviceIl entre en service le , comme sous-lieutenant au régiment de Hohenlohe au service de l’armée autrichienne, et le , il passe dans le corps de uhlans de Charles Schwarzenberg, puis il démissionne le . Le , il est nommé chef de bataillon au 12e régiment d’infanterie de ligne. En 1809 il sert à l’armée d’Italie, et il est blessé le à Oderzo. Il est fait chevalier de la Légion d’honneur le , et il est créé baron de l’Empire le . Le suivant, il est promu adjudant-commandant, et le , il prend les fonctions de chef d’état-major de la 4e division d’infanterie du général Puthod. Il est nommé colonel le , au 122e régiment d’infanterie de ligne, et de 1811 à 1813, il est affecté à l’armée d’Espagne. Il est blessé le , près de Pampelune. Surnommé le beau d'Orsay, il est promu général de brigade le , et il est élevé au grade d’officier de la Légion d’honneur le . Il est mis en non activité le . Le , il commande la 2e brigade de la 1re division d'infanterie de la garde royale, et le , il fait partie du conseil de guerre chargé de juger le général Rigaux. Il est fait commandeur de la Légion d’honneur le , et commandeur de Saint-Louis le . Il est élevé au grade de général de division le , et le , il est nommé gentilhomme ordinaire de la chambre du roi. Le , il prend le commandement de la division du Haut-Èbre à la place du général Jamin, et il rentre en France en . Disponible en , il devient inspecteur général d'infanterie pour les 9e et 10e division militaire le . Disponible de nouveau le , il est compris dans le cadre de réserve de l'état-major général le . Il meurt le , à Rupt-sur-Saône.
Dotation
Armoiries
Références
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