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Premier Prix de poésie de l'Association valaisanne des écrivains en 1983, il reçoit en 1988 le Prix de journalisme du Conseil de l'Europe et, en 1998, le canton du Valais lui décerne le Prix d'encouragement pour l'ensemble de sa production littéraire[1]. Finaliste du Prix Hemingway en 2021. Double finaliste du Prix de la Nouvelle Érotique (PNE) en 2022 et 2023[2].
Il était rédacteur en chef du quotidien valaisan Le Nouvelliste[3], jusqu'en . Il a dirigé ensuite la Revue Automobile, plus vieux journal automobile européen. Puis administré le Théâtre du Baladin et officié comme Délégué culturel de la commune de Savièse.
Publications
Tantôt romancier, dramaturge, poète ou biographe, il compte à son actif un nombre considérable de titres, de recueils de poèmes, huit romans "Alcools de Vienne", "Jacques, fils du tonnerre", "Triptyque", "La Nuit qui tua Juan Don", "Acqua Alta", "Le Chien", "Le Village aux trente cercueils", "Les Démons du pierrier", un drame lyrique "Don Maifisto", ainsi qu'une grande étude sur le peintre Egon Schiele.
Alcools de Vienne (roman), L'Âge d'Homme, Lausanne, 1989[4]
Jacques, fils du tonnerre (roman), L'Âge d'Homme, Lausanne, 1994[4]
Don Maifisto (théâtre lyrique, hommage au poète Lenau, avec une musique de scène originale du compositeur suisse Henri-Louis Matter), Éd. Vinci, Paris, 1993[4].
Jérôme Rudin: Peindre, c'est tout, éditions Xénia, 2011[6].