Avocat de profession[1], il est emprisonné en pour avoir soutenu son frère, en grève de la faim pour protester contre les violations des libertés[2].
Le , il fonde le journal Kaws el Karama (L'Arc de la dignité)[2], dont il est rédacteur en chef[1]. Après son lancement, il entame une grève de la faim pour revendiquer sans succès son autorisation[2]. Le , il est poursuivi en justice pour avoir endommagé une voiture de police, mais obtient finalement un non lieu[2].