Paris, École nationale supérieure des beaux-arts : Vue du Colisée, sanguine, 39,2 × 53,4 cm[4]. Cette feuille compose une description minutieuse de l'appareillage du monument et une représentation précise de la végétation. Certainement exécuté lors de son pensionnat à l'Académie de France à Rome de 1759 à 1763[5].
↑Emmanuelle Brugerolles (dir.), Paysages dessinés de l'école française du XVIIIe, Beaux-Arts de Paris éditions, (ISBN2-84056-172-7), p. 32.
Voir aussi
Bibliographie
Philippe de Chennevières et Anatole de Montaiglon, « Amand (Jacques François) », dans Abécédario de P. J. Mariette et autres notes inédites de cet amateur sur les arts et les artistes, t. 1 A-Col, Paris, J.-B. Dumoulin, 1851-1853 (lire en ligne), p. 19
Jules Guiffrey, « CCXLIV-François-Jacques Amand peintre de l'Académie royale. 6 mars 1769 », Nouvelles archives de l'art français - Scellés et inventaires d'artistes, 2e série, t. 5, , p. 436-439 (lire en ligne)
Laurie Bervillé-Marty de Cambiaire, Jacques-François Amand 1730-1769, Illustrations et analogies, Université de Paris IV-Sorbonne, Mémoire de maîtrise, sous la direction d'Alain Mérot et de Jean-François Méjanès, 2003-2005, non publié.