Jürg Stahl
Jürg Stahl, né le à Winterthour (originaire du même lieu, de Fischingen [TG] et de Lindau [ZH]), est une personnalité politique suisse, membre de l'Union démocratique du centre (UDC). Il est député du canton de Zurich au Conseil national de à et président dudit conseil en 2016-2017. BiographieJürg Stahl naît le à Winterthour. Il est originaire du même lieu et d'une autre commune du canton de Zurich, Lindau, ainsi que d'une commune du canton de Thurgovie, Fischingen[1]. Droguiste de formation, il remet sa droguerie à Winterthour en 2004 pour devenir membre de la direction du Groupe mutuel[2]. Le , il est élu président de Swiss Olympic avec un premier mandat débutant le [3]. Il est ensuite réélu pour un second mandat[4]. Le , il est élu président du Conseil de fondation du Fonds national suisse de la recherche scientifique[5]. Major dans l'armée[1], il est marié et père d'une fille. Il vit à Brütten, dans les environs de Winterthour[2]. Parcours politiqueIl siège au Grand Conseil communal (législatif) de Winterthour de à et le préside sur l'année législative 2000-2001[1]. En 2001, il échoue à l'élection à l'exécutif de la ville pour une seule voix[2]. Élu au Conseil national en 1999 sous l'étiquette de l'UDC, il est réélu à quatre reprises. Il siège à la Commission de la sécurité sociale et de la santé publique (CSSS) tout au long de ses mandats, à la Commission de l'environnement, de l'aménagement du territoire et de l'énergie (CEATE) de à , puis à la Commission de politique extérieure (CPE) de à et à la Commission de la science, de l'éducation et de la culture (CSEC) de à , et enfin à la Commission de gestion (CdG) de à [1]. Le , il est élu président du Conseil national pour l'année législative 2016-2017[1]. En il démissionne du Conseil national, où il est remplacé par Therese Schläpfer le [6],[7]. Positionnement politiqueIl se dit plutôt libéral sur les questions sociales et plus conservateur sur les questions économiques. Son modèle politique, selon ses propres dires, est le conseiller fédéral Adolf Ogi[2]. Notes et références
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