Irina TeodorescuIrina Teodorescu
Irina Teodorescu (2014).
Œuvres principales
Irina Teodorescu, née le à Bucarest, est une romancière d'origine roumaine, d'expression française. BiographieIrina Teodorescu est née à Bucarest, en 1979. Elle a 10 ans lors de la révolution roumaine et la chute du régime communiste de Nicolae Ceaușescu. Elle quitte la Roumanie pour venir à Paris en 1998[1] où elle exerce le métier de graphiste et crée une petite agence de communication avec deux collaborateurs. Depuis 2014, elle se consacre exclusivement à l'écriture. En 2020, elle déménage dans la dernière forêt primaire encore présente en Europe, Forêt de Białowieża. Son expérience là-bas donne naissance au livre La Forêt, désormais, de l'intérieur. Irina Teodorescu est la mère d'Iliana Holguin Teodorescu. ŒuvresRomans
Ouvrages collectifs
Recueils de nouvelles
ActualitéLe 6 octobre 2023 paraît en librairie La Forêt désormais de l'intérieur, publié aux éditions La Grange Batelière. À partir du 2 octobre 2023 et pour une durée de six mois, Irina Teodorescu sera en résidence dans le département Seine-Saint-Denis, dans le cadre des résidences Babel organisées par le Campus Francophone. De l'automne 2022 à l'automne 2023, Irina Teodorescu a bénéficié d'une résidence de création littéraire à Zurich. Fin 2018, Irina Teodorescu a été accueillie durant un mois en résidence d'écrivain à la Villa Marguerite-Yourcenar[2]. Un nouveau roman est paru le : Ni poète ni animal est édité chez Flammarion. Accueil de son œuvreSon premier roman, La Malédiction du bandit moustachu, est remarqué par Le Figaro littéraire[3], qui a fait d'Irina Teodorescu l'un de ses dix nouveaux visages de la rentrée littéraire 2014[3]. Son dernier roman, Ni poète ni animal, fait partie des six coups de cœur de la rentrée littéraire 2019 de l'édition parisienne du magazine Vogue[4]. Pour Sylvie Tanette du magazine Les Inrockuptibles, « Il est des images qui longtemps resteront dans les mémoires des lecteurs d'Irina Teodorescu »[5]. Pour Zoé Courtois du journal Le Monde, l'écriture emploie un « style bigarré, fin et drôle, remarquablement enlevé » et « Irina Teodorescu fait, avec Ni poète ni animal, un éloge de l’étrange, dont elle affirme avec subtilité mais force la puissance à la fois littéraire et politique. Superbe »[6]. Distinctions
Traductions en langues étrangères
Notes et références
Liens externes
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