En 2010, elle lance en collaboration avec Foscarini la lampe à poser Binic[4].
En janvier 2011, elle ouvre son atelier à Paris[5].
Elle collabore avec différentes marques et éditeurs tels que Foscarini, Moustache, Kvadrat, Christian Dior, Sancal, Super-ette, Lexon, Serralunga[5],[6]...
En 2020, après avoir travaillé pour Monoprix et la SNCF[7], elle se met à la céramique et déclare qu'elle va s'installer en Normandie[8].
En juin 2023, à la suite de l'appel d'offres lancé par l'association « Revoir Notre-Dame de Paris », son design est retenu par l'archevêque de Paris, Mgr Ulrich, pour la réalisation des 1 500 nouvelles chaises en chêne de la cathédrale, ainsi que 170 agenouilloirs, 40 bancs et 80 prie-Dieu pour les chapelles annexes, qui seront fabriqués par l'entreprise « Bosc - Sièges Bastiat » à Hagetmau)[9],[10],[11],[12].
Expositions (sélection)
2010, Toolsgalerie, Paris : Moaïs by Ionna Vautrin (luminaires)[13]
2012, Harbourfront, Toronto : exposion Nouvelle vague[14]
Le Kama Sutra illustré d'Ionna Vautrin, avec une postface de Cendrine de Susbielle (d), Flammarion, 2017 (ISBN978-2-08-140433-5) traduit en anglais et en italien
Distinctions
2010 : Grand prix de la création de la ville de Paris (Design)[20],[21],[3]
↑Marie Godfrain, « Ionna Vautrin, designer : « Je ne trouvais plus de sens à ce métier où l’on travaille dans le vide » », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
↑Sophie Laurant, « « Mes chaises pour Notre-Dame répondent à un défi » », Le Pèlerin, (lire en ligne, consulté le ).
↑Florian Bardou, « Le portrait : Ionna Vautrin, notre dame des chaises », Libération, (lire en ligne, consulté le ).