En 1964, il réussit les concours de l'école diplomatique. Il en ressort deux ans plus tard, avec le grade de secrétaire d'ambassade.
Il se tourne cependant vers le monde de l'édition, participant à la fondation des Cuadernos para el Diálogo. Il crée en 1967 la société Guadiana, qu'il préside pendant huit ans.
Le suivant, il devient président de la commission des Affaires étrangères du Congrès.
Retrait progressif de la politique
Pour le scrutin du 1er mars 1979, il est choisi comme tête de liste dans la province de Valladolid et réélu au Congrès. Il conserve sa présidence de commission, tout en siégeant à la députation permanente et à la commission de la Défense, puis à la commission constitutionnelle à compter de 1980.
Il fonde en 1984 le Parti Action libérale, qui rejoint le Centre démocratique et social (CDS) l'année suivante. Il met alors un terme à sa carrière politique.
Le il co-fonde le parti Vox[3],[4] avec d'autres militant du Parti populaire. En septembre de la même année, il annonce son retrait[5].
Il présente en la « Plate-forme Espagne Toujours » (en espagnol : Plataforma España Siempre), qui promeut la disparition des communautés autonomes au profit d'un État unitaire où seules resteraient les communes et les provinces. Il dénonce l'existence du « séparatisme » et d'un « nationalisme séditieux » qui s'installerait selon lui en Catalogne, au Pays basque, en Navarre, en Communauté valencienne et dans les îles Baléares[6].
↑(es) Gregoria Caro, « Un exministro de UCD funda una plataforma para suprimir las autonomías tras la crisis del «procés» », ABC, (lire en ligne, consulté le ).