Hubert Colson suit une double formation et devient professeur de morale et de français en même temps que pâtissier[2]. Il est marqué par la tétraplégie de sa mère[3], puis par son décès.
Il affirme avoir obtenu un DEA en psychopathologie - psychanalyse et se présente comme psychothérapeute clinicien et psychanalyste[4], tout en ouvrant une pâtisserie à Mons en 1985, puis à Brooklyn[5].
Il collabore à deux albums de Martine, une héroïne de bande dessinée destinée à la jeunesse, La pâtisserie avec Martine et Le « Sucré salé » avec Martine[6], et participe à la publication de différentes recettes de cuisine.
La sténo en 10 leçons, Hubert Colson, Éditions Deboeck, 1971.
Pâtisserie, une aventure pour le plaisir, Hubert Colson, Xavier Saint-Luc, Georges Schevenels; préface de Line Renaud, Érasme, Namur, 1989.
La pâtisserie avec Martine, d'après les albums de Gilbert Delahaye et Marcel Marlier; recettes d'Hubert Colson; illustrées par Nadette Charlet, Casterman, Bruxelles, 2004 (traduit aussi en néerlandais chez le même éditeur), (ISBN978-2203100015).
Le « Sucré salé » avec Martine, d'après les albums de Gilbert Delahaye et Marcel Marlier; textes et recettes d'Hubert Colson; illustrées par Nadette Charlet, Casterman, Bruxelles, 2004 (traduit aussi en néerlandais chez le même éditeur), (ISBN978-2203100022).
Recettes enchantées : cuisine des terroirs autour de Mons, sous la coordination d'Hubert Colson; stylisme et photographies : Jean-Pierre Gabriel, Office de Tourisme de la Ville de Mons, Mons, 2008.
Pétrir la vie : un psychanalyste se bat pour sa propre survie et celle de sa propre patiente, Payot, Paris, 2009.
↑Valéry Saintghislain, "Hubert Colson. Amuse-Bouches", dans : Le Soir, samedi 5 février 2005, p. 12-13 : « Maman, issue d'un milieu bourgeois, était professeur et souhaitait que je fasse des études. À ma naissance, elle est restée paralysée. Inconsciemment, je devais culpabiliser. Je n'ai jamais voulu lui déplaire ».[1]
↑Annonce d'une conférence, page consultée le 16 novembre 2015, [lire en ligne]
↑NewYork Press, 27 septembre 2006, [lire en ligne] et « Pétrir la vie d'Hubert Colson », blog, [lire en ligne]