Son père est mécanicien tourneur et il suit les traces de son père[2]. Lorsque l'Allemagne envahit la Belgique, la famille Hébrans se réfugie en Angleterre où le jeune Henry apprend la boxe anglaise[2]. Quatrième du tournoi olympique d'Anvers de 1920 dans la catégorie des coqs, il devient champion belge amateur la même année[2],[3]. Il fait ses débuts chez les professionnels le et abandonne dans la cinquième reprise contre Dufour, son oreille gauche étant éclatée[2]. Il multiplie ensuite les succès jusqu'à connaître une deuxième défaite contre le Français Eugène Criqui lors d'un combat au profit des laboratoires[2],[4].
↑ abcd et e« L'histoire et la vie d'Henry Hébrans, le nouvel « as » belge », L'Auto, no 8394, , p. 3 (lire en ligne).
↑Daniel Conraads, « Chapiter liégeois de l'histoire olympique (III) : Henri Hébrans, un artiste des rings aux JO d'Anvers », Le Soir, (lire en ligne).
↑« Après un combat superbe Eugène Criqui bat aux points le Belge Henri Hébrans », Le Matin, no 12645, , p. 1 (lire en ligne).