Il est nommé préfet du Gard le [4], pendant l’affaire du Massacre des Italiens d'Aigues-Mortes, dont la polémique, entretenue par les autorités italiennes, avait placé la France dans une position inconfortable sur la scène internationale[5]. Intrigué par l’attitude du général Caze avec qui il doit composer, il commande un rapport secret à son sujet qui restera lettre morte[6].
Après son départ de l’administration, il devient directeur de l’étabilissement thermal d’Aix-les-Bains[7].
Bibliographie
René Bargeton, Dictionnaire biographique des préfets (-), Paris, Archives nationales, 1994, 555 pages, 26 cm, (ISBN2-86000-232-4), sub verbo « Bonnier (Jean), p. 103-104.
Bonnier, Jean, Identifiant F/1a,F/4,LH - F/1bI/309, in : René Bargeton, Dictionnaire biographique des préfets (-), Inventaire analytique (F/1a,F/4,LH), Archives nationales, 1994, p. 129-130 [lire en ligne]
Archives nationales (France) (répertoire nominatif par Christiane Lamoussière, revu et complété par Patrick Laharie ; répertoire territorial et introduction par Patrick Laharie), Le personnel de l’administration préfectorale, 1881-1926, Paris : Centre historique des Archives nationales, 2001, 774 pages, 27 cm, (ISBN2-86000-290-1), sub verbo « Bonnier (Jean) », page 80.
↑Archives nationales (France) (répertoire nominatif par Christiane Lamoussière, revu et complété par Patrick Laharie ; répertoire territorial et introduction par Patrick Laharie), Le personnel de l’administration préfectorale, 1881-1926, Paris : Centre historique des Archives nationales, 2001, 774 pages, 27 cm, (ISBN2-86000-290-1), sub verbo « Bonnier (Jean) », page 80.
↑République française, « Les différents Préfets », sur gard.gouv.fr, (consulté le ) : « 40. Jean BONNIER - 18 mars 1895 »