Il s'expose au salon des artistes français (SAF) de 1895 : 1. Vire, l'horloge.- 2. Falaise, la tour des Cordeliers, aquarelles; SAF de 1896 : Intérieur de Saint-Germain-des-Prés; ferme de Fauville, près Évreux; SAF de 1899 : La justice de paix à Pont-l'Évêque (Calvados), aquarelle; L'évêché d'Évreux (Eure), soleil couchant; SAF de 1901 : Une maison de chasse, mention honorable.
Suivant la notice de la base Mérimée, « le style de l'édifice, diversement qualifié de normand, pseudo-normand ou anglais, le fait clairement relever du mouvement régionaliste ».
En région parisienne, Henri Jacquelin construit de nombreuses demeures parmi lesquelles :
à Louviers, 20 rue Henri-Dunant/chemin des Faux, le pavillon dit Le Pelletier (du nom de l'industriel filateur commanditaire Paul Le Pelletier, 1886-1965), dont il dessine également les jardins ;
↑Astrid Lemoine-Descourtieux, « Les châteaux du XIXe siècle dans le département de l'Eure », Études normandes, vol. 52e année, no 4, Gloires du XIXe siècle, , p. 5-30 (voir p. 28) (lire en ligne, consulté le ).
Edmond Delaire, Louis David de Pénanrun, Louis Roux, Les architectes élèves de l'École des beaux-arts (1793-1907), préface de Charles Garnier, Librairie de la construction moderne, 2e éd., 1907, p. 299 en ligne [3]
Armand Guérinet éditeur, 1901 - Salon de 1901 : l'architecture aux expositions des beaux-arts.
Biographie rédigée par Marie-Laure Crosnier Leconte : Institut national d’histoire de l'art [4]