Il enseigne tout d’abord à l’École Niedermeyer, où il compte Joseph Noyon parmi ses élèves. En 1898, il est lauréat du prix Chartier de l'Académie des beaux-arts pour son Trio avec piano[3]. De 1908 à 1928, il enseigne l'harmonie au Conservatoire de Paris. Il revient dans sa ville natale de Reims pour inaugurer le bel orgue de la salle des fêtes de l’Hôtel de Ville en 1928.
Deux Offertoires pour Noël et Pâques pour orgue ou harmonium (Librairie de l’Art catholique, 1914)
Offertoire funèbre dans le 2e fascicule de la série «Les Voix de la douleur chrétienne» publié par l’abbé Joubert chez A. Ledent-Malay à Bruxelles (1924).
Cinq Invocations pour grand orgue (Lemoine, 1926) : 1. Stella matutina – 2. O clemens! O pia! – 3. Monstra te esse matrem – 4. Pulchra ut luna – 5. Electa ut sol.
Valse pour piano à 4 mains, Op. 30 (A. Colin, 1893)
Scherzettino (Heugel)
Mazurka héroïque
Cantilène
Brises marines
La Charmeuse
Treize morceaux (Lemoine)
Musique de chambre
Contemplation pour violon, piano ou harpe et orgue (Leduc, 1891)
Trio avec piano (en do mineur, 1898)
Fantaisie-Caprice pour hautbois et piano (Paris, 1903)
Fête joyeuse pour trompette et piano (Leduc)
Sous les cieux pour violon et piano (Lemoine)
Pensée du soir (Lemoine)
Quatuor à cordes
Quintette avec piano
Avec Joseph Jongen et Eugène Wagner, la Réalisation des basses chiffrées de l’École du violon aux XVIIe et XVIIIe siècles (Sénart, 1913-1914), en 5 vol.
Recueil de pièces anciennes pour violon et piano (Lemoine, 1925).
Henri Dallier a publié des éditions revues et doigtées pour piano de plusieurs œuvres et recueils de Jean-Sébastien Bach, dans la collection «Édition nationale française Panthéon des pianistes» chez Henry Lemoine à Paris, de 1917 à 1924.