Avec son père, qui fut le co-initiateur de l'école de Bayonne[4], il partage une thématique commune : des scènes d'Espagne et de tauromachies.
Il obtient une médaille d'argent à l'Exposition universelle de 1900 et l’État lui octroie une bourse de voyage en 1901. Il expose au Salon des artistes français à partir de 1897 et remporte le prix national en 1905. Il expose régulièrement des œuvres à la Société des amis des arts de Bordeaux de 1896 à 1934.
Charlotte Chabrier-Rieder, Les enfants du Luxembourg, ornée de 46 vignettes par Henri Zo, Paris, Librairie Hachette et Cie, 1903.
Jules Clarétie, La Cigarette, avec 29 illustrations, Paris, Éditions A. Girard, 1906.
Paul Margueritte, À la mer, illustrations d'Henri Zo gravées sur bois par Gaspé, Piselli, etc., Paris, Librairie de la collection des dix / A. Romagnol, 1906.
Pierre Loti, Ramuntcho, suivi de Aziyadé, coll. « Grands romans complets illustrés », Paris, Pierre Lafitte, 1923.
Raymond Roussel, Nouvelles impressions d'Afrique [suivi de] L'âme de Victor Hugo, orné de cinquante-neuf dessins signés H.-A. Zo, Paris, Alphonse Lemerre, 1932.
Henri Jeanpierre, « Henri Zo, peintre de la fête, 1873-1933 », dans Bulletin de la Société des Sciences, Lettres et Arts de Bayonne, no 126, 1971, p. 269-296.
Laurent Busine, Raymond Roussel Contemplator Enim. Sur les Nouvelles impressions d'Afrique, ouvrage orné de 59 illustrations d'Henri-Achille Zo, Bruxelles, La Lettre volée, 1995.