C'est également à lui que l'on doit au moins une version manuscrite des livres de comptes de l'artiste catalan, faisant office de premier catalogue de son œuvre. C'est en 1716 que Hulst, à la demande de Rigaud, rédige une première biographie restée célèbre, destinée au duc Cosme III de Médicis. Il s'est aussi chargé d'écrire l'écrire l'histoire de l'Académie royale de peinture et de sculpture. Plusieurs de ses manuscrits sont conservés à la bibliothèque de l'École des beaux-arts[2].
↑André Fontaine, Académiciens d'autrefois, Paris, 1914, p. 33 (« Henry van Hulst, associé libre dès 1747 et
honoraire amateur en 1753 »)
↑« Manuscrits de l'École des beaux-arts », dans Catalogue général des manuscrits des bibliothèques publiques de France, t. 1 Paris, Paris, Plon-Nourrit et Cie imprimeurs-éditeurs, (lire en ligne), p. 118-119, 121, 125, 131, 134, 135, 137, 140, 142, 143, 145, 146, 158, 161, 162, 163
Eugène Piot, « Hulst (Henri), amateur », dans État civil de quelques artistes français : extrait des registres des paroisses des anciennes archives de la Ville de Paris, Paris, Librairie Pagnerre, (lire en ligne), p. 61
Stéphan Perreau, Hyacinthe Rigaud (1659-1743), le peintre des rois, Montpellier, Nouvelles Presses du Languedoc,