Il fut peut-être le premier, en 1882, à décrire l'angiœdème, souvent dénommé œdème de Quincke[2].
La pulsation du lit de l'ongle ou « signe de Quincke » (Quinck’scher Kapillarpuls) est l'un des signes cliniques de l'insuffisance aortique qu'il a décrit[3].
La « ponction de Quincke » (Quincke-Punktion) est l'un des éponymes de la ponction lombaire[4],[5].
En 1893 il décrit ce qui est actuellement connu comme l'hypertension intracrânienne idiopathique, qu'il dénomme à l'époque "serous meningitis" ou méningite séreuse[6].